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100-Solitude

De nos jours, on passe énormément de temps à se protéger des conneries que vous racontent les autres, à éviter les stupidités que vous montre la télé, à s’éloigner de tous les menteurs qui ne veulent que s’enrichir sur le dos des plus faibles qu’eux et surtout ne rien faire de bien dans la société pour la rendre meilleure.

Alors on n’a qu’une seule envie, se couper de tout, se couper du monde. Et pour faire cela, les solutions sont nombreuses. On peut tout simplement changer d’air pendant quelques jours avec le couchsurfing qui existe depuis pas mal de temps maintenant et depuis un certain nombres d’années, nous pouvons également nous inscrire sur des sites de wwoofing, tiré de wwoof qui voulait dire autrefois “working week-ends on organic farms” et qui est devenu aujourd’hui world wide opportunities on organic farms et qui consiste à travailler dans des fermes bio.

La plupart de ces gens sont comme moi, en avance sur la société, mais comme leur système de valeurs profondes ne dépasse peut-être pas le Vert sur la Spirale Dynamique, l’égo est encore très présent, et je suis donc très curieuse de voir qui viendra au secours d’une désespérée comme moi.

Allô, y a-t-il encore des êtres humains sur terre?

72-Solitude et résignation

Encore un témoignage poignant qui cherche de l’aide sans en trouver, parce que personne ne veut aider.

Coucou les gens,

La question va vous paraître absurde: comment faites-vous pour aborder les gens, vous insérer dans un groupe, vous faire des amis, faire en sorte qu’on s’intéresse à vous, que ce soit durable?

Dans deux jours, c’est la rentrée pour moi, et je stresse. J’ai toujours eu du mal à me faire des amis, à nouer des relations. J’ai fait des “expériences pratiques”, et le résultat était toujours le même: même en étant chaleureuse, souriante, avenante, les gens ne s’intéressent pas à moi. On me fuit, on ne m’écoute pas, on me fait taire. Je suis sans doute souvent mal tombée, mais j’ai cette impression tenace que ça me suit. Quand je veux entrer dans un groupe, on m’exclue physiquement, je ne fais jamais partie du cercle. Quand je parle en élevant la voix, on ne m’entend jamais, bien que je parle aussi fort que les autres. Quand je parle de mes expériences, on change de sujet. Dans une salle ou personne ne se connaît, un vide se forme autour de moi, les gens ne viennent pas vers moi. Je me suis demandée pourquoi c’était ainsi, je croyais (et crois toujours) que ça vient de moi, de ce que je suis, tout simplement.

Mais je ne veux pas que ça recommence, pas encore, je ne veux plus être seule. La solitude est quelque chose qui ronge, qui fatigue, qui fait honte: et j’en ai fait l’expérience, dans cette société, mieux vaut être mal accompagnée que d’être seule. Je ne vais pas jusqu’à demander de faire partie d’un groupe qui s’intéresse à moi, je veux juste en faire partie, en être un des membres. Je veux juste pouvoir être au contact d’autres gens, et que les gens acceptent ma présence. Je ne veux plus de cette solitude qui suinte sur moi comme de la transpiration, qui me colle à la peau, où que j’aille, quoi que je fasse. J’en ai marre et je ne veux pas abandonner, je ne veux pas me résigner à encore une année de solitude. C’est devenu une phobie.

Désolée pour le pavé, je ne veux pas faire de misérabilisme, j’aimerais juste entendre vos conseils et vos éventuelles expériences, si certains de vous ont eu ces problèmes, comment ils les ont réglés. Merci de votre aide!

49-Surdouance et solitude angoissante

Commentaire suite à un test sur la solitude sur psychologies.com

La solitude est pour vous l’équivalent d’un enfer: vous cherchez à la fuir à tout jamais. Vous faites tout pour éviter de vous retrouver seul(e), avec votre monde intérieur notamment, qui vous panique facilement: probablement chargé d’angoisses anciennes et à coup sûr dépourvu de sentiment de sécurité, il en est apeurant.

032-Place Kléber in Strasbourg-FranceAussi, tant que vous êtes dans l’agitation de la vie active et des relations, tout va bien: votre attention est fixée sur l’extérieur. Mais quand vient un instant de silence ou d’isolement, vous sentez vos peurs remonter et prendre le devant de la scène. Et vous vous sentez impuissant devant cette anxiété.

La capacité d’être seul(e) s’acquiert dès le plus jeune âge, lorsque l’enfant a pu intériorisé sa mère et le sentiment de sécurité qui lui est lié. Peut-être avez-vous eu, enfant, des expériences de séparations non intégrées, et donc vécues comme source d’angoisse encore aujourd’hui? Apprenez petit à petit à retrouver en vous la confiance: essayez d’être seul(e) d’abord un petit moment, puis de plus en plus longtemps.

Seule au mondeCréez en vous-même un être bienveillant, sécurisant, objet intérieur positif auquel vous pourrez faire appel lorsque vous serez seul(e). Il vous aidera à passer de la solitude angoissante à la solitude apaisante, positive… Enfin, des approches comme la sophrologie pourraient vous aider à vous réapproprier cette capacité d’être seul(e)… d’abord en présence du thérapeute, puis ensuite, seul(e) avec vous-même.”

Cet exemple de test de psychologies.com montre une fois de plus que la personne seule doit toujours chercher la faute chez elle, alors que nous sommes des êtres sociaux comme le montre si bien Gerald Hüther, des êtres humains qui n’existent qu’au travers des autres. Ce sont donc, comme je ne cesse de le dire, les autres qui créent la solitude et ce ne sont que les autres qui peuvent l’arrêter en arrêtant de pratiquer l’exclusion, en adoptant un autre mode de comportement dans les relations sociales. Et si je ne me suis pas encore suicidé, c’est sans doute parce que j’ai cette force en moi, cette petite Sonia bienveillante, sécurisante et positive qui vit avec moi, la grande Sonia, une vie que seules nous deux connaissons mais dont nous avons décidé qu’elle serait fascinante.

28-Des souffrances gratuites

Comment pourrions-nous rester insensibles à de telles souffrances? Nous recherchons depuis trop longtemps déjà une maison qui devra offrir la possibilité d’avoir 3 chambres d’occupants permanents et 3 chambres d’hôtes pour accueillir en séjour de courte ou moyenne durée des personnes avec des caractéristiques de mal-être similaires, dans l’Est de la France.

Femme – Hypersensible

Ce soir, je suis triste, désolée, désespérée de cette vie… Fatigue, colère, douleur, grand vide, tout ça me traverse et je tourbillonne dans une vague de sentiments durs à vivre.Dépression 1 J’attends trop de cette vie pour en avoir si peu, j’en donne trop pour en recevoir tellement peu, je suis lasse de me débattre face à des personnes qui ne me comprennent pas, qui n’ont pas encore compris que je suis quelqu’un de très sensible, que les paroles anodines me transpercent comme des lames, que leur silence est une torture, que j’ai envie et besoin de douceur, de chaleur, de soutien, de réconfort… j’aimerais rester en boule, au chaud, pour renaître mieux préparée ou plonger dans le noir et ne plus en sortir… MAL

Femme – Hypersensible

Dépression femmeJe viens vers vous ce soir car les larmes ne font que s’écouler et que je ne sais pas vers qui me tourner: personne ne comprend ma sensibilité et ce que j’éprouve…

J’accorde une grande importance à profiter des gens qui me sont chers surtout quand je suis près d’eux, car d’ordinaire j’habite à plus de quelques centaines de kilomètres. Mais eux préfèrent conserver leur propre routine et voir des personnes qu’ils voient tous les jours plutôt que moi qui ne suis là que quelques fois par an. La vie est courte, et je ne comprends pas l’insensibilité des gens, même de leurs proches.

J’ai l’impression que je m’en fais pour les autres mais que personne ne s’en fait pour moi…

Femme – Surdouée – Haut Potentiel

Bonjour,

Je viens à vous pour avoir… je ne sais pas trop ce que je cherche honnêtement… Peut-être juste une envie de dire ce qui me turlupine avant que mon cerveau n’explose…

Dépression-logoAlors voilà… Je suis avec quelqu’un qui est totalement mon opposé, ça fait 10 mois qu’on est ensemble. Je lui ai parlé de mes particularités, mais je n’ai pas eu totalement l’impression qu’il ait saisi tous les enjeux qui gravitent autour de ça. Il me reproche d’être je m’en-foutiste en ce qui concerne ma santé, d’être je m’en-foutiste sur tout en gros. En réalité, de mon point de vue, je le suis uniquement quand la chose ne m’intéresse absolument pas. Ce qui ne suscite pas mon intérêt passe à la trappe direct. Alors je ne sais pas trop si je suis juste radicale ou… si je devrais me comporter autrement ou quoi…

Mais pour moi, la plus grosse inquiétude vient du fait qu’il soit trop conciliant. J’ai un très mauvais caractère, l’esprit qui foisonne, qui part en vrille en permanence, je suis limite hyperactive, et j’ai besoin de quelqu’un qui sache me canaliser. Qui sache me dire “STOP”. Et lui ne s’affirme pas assez. Je le “pique” en permanence, comme une sale gosse qui cherche à tester les limites, et lui il prend sur lui au lieu de me hurler dessus une fois pour toute! Je ne sais pas s’il est conscient de ça… J’en viens à me demander si ce n’est pas moi le véritable problème. Si ce n’est pas moi qui devrait me calmer du tout au tout… Changer. Mais… cela viendrait à me renfermer complètement. Alors déjà que je ne suis pas heureuse dans mon schéma de comportement actuel… Je ne crois pas que l’autre solution serait une meilleure alternative…

Nous en sommes à une ultime discussion pour essayer de calmer les choses entre nous, mais… Je ne sais pas du tout comment aborder le problème. J’ai l’impression qu’il ne me connaît pas. Qu’il ne me comprend pas. Alors faut-il que je m’amuse à lui exposer en long en large ce que je suis, ou au moins ce que je sais être? Ou… Faut-il lâcher l’affaire et inverser mon comportement?

Je ne demande pas qu’on me fasse la morale, mais simplement qu’on me donne des avis. Peut-être y a t-il d’autres personnes dans ce cas de “flou total global”?…

12-L’être humain et sa relation duale

La base de l’être humain en société est la relation duale!

Peut-être que le sujet a déjà été étudié en sociologie ou en psychologie, mais je n’en ai jamais entendu parler, cela ne fait pas débat dans la société. J’ai donc fait ma propre étude au sein du LIOS – Laboratoire Indépendant d’Observation de la Société. Malheureusement, le blog a dû fermer, parce que j’ai préféré cela que l’imposition de publicité qui rendent une surdouée dingue et qui ne sont que la preuve de la dictature du capitalisme omniprésent.

J’appelle “relation duale”, la relation entre deux personnes. Cette relation peut durer quelques secondes ou quelques heures, voire bien plus. Elle peut se passer entre un salarié et l’employeur, un Père et filsenfant et sa mère, un prêtre et un paroissien, le boulanger et son client, le médecin et le patient, l’élève et le professeur, etc. Dans la vie, il n’y a pratiquement que des relations duales toute la journée. Même si dans certains cas, nous nous trouvons seul/e face à plusieurs personnes, la décision finale de faire ou de ne pas faire quelque chose, d’accepter ou de ne pas accepter est pratiquement toujours prise par une seule personne. Et nous voici dans le cœur du sujet: dans la relation entre deux personnes, il y a pratiquement toujours une décision de prise, un jugement porté, un choix fait par l’une des personnes par rapport à l’autre. Et cette décision est déterminante pour la suite des événements.

Cédraie-Ras-le-bol
Magasin de commerce équitable détruit par le capitalisme à Strasbourg

Plantons le décor! Nous vivons dans un pays, dans un monde où les Droits de l’Homme sont une farce, une parodie acceptée par la majorité des gens qui “regardent ailleurs alors que la maison brûle”, comme disait M. Chirac, mais qui regardait lui-même trop souvent, voire constamment ailleurs. Ce monde est en apparence dirigé par des hommes politiques, mais en réalité par des entreprises multinationales. Si nos hommes politiques n’étaient pas démesurément intéressés par l’argent et par le pouvoir, mais au contraire par le bien-être durable de tous les êtres et par l’autorité, donc la reconnaissance tous les jours renouvelée de leur sagesse, et non le pouvoir pris par la force, nous aurions d’autres relations entre les personnes. Le système capitaliste et néo-libéral imposé par la violence physique et psychique de nos dirigeants à la solde des entreprises a pour conséquences que non seulement la concurrence à mort doit régner entre les entreprises, mais qu’il faut aussi une concurrence à mort entre les personnes. Ce n’est pas présenté ainsi dans la société, car cela choquerait évidemment. On parle plutôt d’individualisme et plus négativement d’égoïsme, mais Mendiant blanc - Donneur noirles relations sont véritablement basées sur la loi de Darwin: le plus fort doit l’emporter, toujours. Nous avons tous été éduqués ainsi, dès le plus jeune âge. Le nombre de personnes suicidées ou suicidaires, en prison, violentes ou malades sont le signe visible du mal-fonctionnement de nos sociétés. Officiellement, c’est présenté comme une fatalité, une chose que l’on doit accepter sans chercher à comprendre. Plus récemment, avec la “rétention de sûreté” pour des criminels potentiels, nous aurons même un système d’enfermement à vie pour enfouir tous les problèmes au fond d’un trou au lieu de les résoudre.

Pour comprendre, prenons des exemples concrets. Mais avant de passer au cas de Fanny qui servira d’exemple, il faut situer la personne. Il s’agit d’une femme de 50 ans, vivant et travaillant toute seule depuis 1993. Avant, elle vivait déjà seule, mais elle ne travaillait pas seule, ce qui change les choses. Tout être humain ayant besoin de personnes autour de lui pour se sentir bien, il est évident qu’une personne en solitude durable depuis si longtemps ne peut pas se sentir bien. Elle est donc déjà en état de vulnérabilité.

En réfléchissant aux relations duales, une personne est donc presque toujours en position de faiblesse, d’infériorité. Dans sa relation avec Mactar-Sagna-Goréed’autres personnes, Fanny a constaté que les décisions prises ont presque toujours été en sa défaveur, ce qui a pour elle aujourd’hui des conséquences dramatiques. Elle est condamnée depuis des années à travailler dans la solitude, alors qu’en tant que personne sensible, elle devrait travailler en équipe ou entourée de personnes. Fanny a une vie sociale inexistante alors qu’elle devrait être plutôt riche, et sa vie de couple est réduite à néant alors qu’elle a un compagnon de vie refusé pour délit de peau noire.

En tant qu’intellectuelle en manque d’échanges intellectuels, les petites conversations banales ne lui apportent strictement rien. Elle a un besoin vital de discuter de problèmes, d’essayer de trouver des solutions, d’essayer de sensibiliser des personnes ouvertes à de nouvelles questions. Il y a quelques semaines, une nouvelle personne a croisé son chemin. Appelons-la Arthur. Depuis, ils se sont vus trois fois, une fois par semaine, le vendredi soir. Arthur se prêta au jeu et va servir d’exemple pour détailler ce problème de la relation duale. Dans cette relation à deux, entre Arthur et Fanny, je lui ai demandé de but en blanc qui est le plus fort des deux. Je pensais qu’il allait avoir du mal à dire lui, parce qu’en tant qu’homme, il le ramènerait automatiquement à sa force physique, mais pour se montrer poli, il dirait Fanny. Je me suis trompée. Il n’a pas répondu tout de suite, mais m’a dit que cela dépendait, qu’on ne pouvait y répondre simplement. Que Fanny avait plus d’expérience, qu’elle avait visité plus de pays que lui…

Et ainsi, on en était à la deuxième moitié du raisonnement où c’est Fanny qui est la plus forte des deux. Une expérience intéressante en plus, c’est que, en tant que blanche ayant grandi dans un pays capitaliste, je supposais que Arthur qui est africain allait me dire que c’est Fanny la plus forte car elle a plus d’argent que lui, plus de biens Village africainmatériels, etc. Lui, en tant qu’africain ayant grandi dans un milieu où l’argent est un moyen et non une fin en soi, il résonnait en termes de possessions non matérielles! Ceci dit en passant, car c’est vers la troisième phase que je souhaitais l’emmener, à savoir que c’est lui qui est en position de force par rapport à Fanny, car il a en lui la sérénité africaine, il a un réseau social vu qu’il est étudiant et rencontre des étudiants, qu’il a un petit travail et y rencontre d’autres collègues qui permettent des échanges, qu’il a une famille africaine, à laquelle il se sent étroitement lié et des amis en France. Tout ce que Fanny n’a pas. Pour ne pas être injuste, il faut reconnaître que Fanny a quelques bons contacts sur Internet.

Pour en revenir à Arthur et Fanny, sans s’en rendre compte, il a appliqué pour le vendredi d’après la loi du plus fort, celle de l’égo, en annonçant à Fanny qui avait pris goût à ces visites hebdomadaires qu’il allait sortir en boîte avec un ami. Quelques minutes auparavant, Fanny lui avait encore dit qu’il était la seule personne de toute la semaine, et ce depuis des semaines, avec laquelle elle ait pu discuter à son niveau, c’est-à-dire de gestion et d’évolution de la société, de ce qui l’intéresse, elle. Fanny lui avait même fait comprendre qu’il remplaçait une femme qui était surchargée de travail et qui ne voulait plus venir voir Fanny, mais que celle-ci avait besoin de contacts sociaux “intelligents” jusqu’à ce que son compagnon puisse vivre avec elle. Le fait qu’Arthur n’ait pas pensé à demander à Fanny s’ils se reverraient le vendredi suivant prouve bien que cette relation duale de la loi du plus fort est appliquée en continu dans chaque relation entre deux personnes sans même que les auteurs et les victimes s’en rendent compte. Fanny continuera donc à rester la plus faible des deux jusqu’à ce qu’elle trouve par exemple d’autres contacts sociaux “intelligents” qui lui permettent de dire à Arthur que si elle est fatigante pour lui, il peut dorénavant faire une pause de solidarité car elle peut se ressourcer ailleurs.

Autrefois, quand Fanny travaillait en bureau ou qu’elle faisait des études avec des étudiants, elle pouvait compenser les expériences négatives avec le positif que lui apportait son environnement étudiant ou de travail. Depuis 1993, les frustrations sont toutes pour elle seule, elle n’a pratiquement rien pour compenser. La loi du plus fort a déjà cassé plusieurs de ses projets, la loi du plus fort l’a déjà coupée de nombreux contacts, la loi du plus fort est toujours gagnante.

Si donc, nous sommes des êtres avec une conscience, que nous voulons aider les personnes les plus fragiles et vulnérables et leur donner ce qui leur manque pour accéder à la dignité humaine, il faut appliquer une autre loi, la loi du plus faible, celle qui pratique la coopération et non la concurrence, celle qui pratique l’écoute et non l’indifférence, celle qui pratique le partage et non l’égoïsme, car c’est

Le soleil éclaire encore la croix d'une tombe dans cimetière dans un village de l'arrière-pays niçois, quelques minutes avant un fort orage. Inscription de la pierre tombale: "Ici repose Louis Millo, décédé le 29 octobre 1914 à l'âge de 79 ans".
Le soleil éclaire encore la croix d’une tombe dans le cimetière d’un village de l’arrière-pays niçois, quelques minutes avant un fort orage. Inscription de la pierre tombale: “Ici repose Louis Millo, décédé le 29 octobre 1914 à l’âge de 79 ans”.

par cette loi universelle que les faibles retrouvent l’espoir et la joie de vivre et de travailler. C’est la loi du plus fort qui pousse les gens sur le chemin de la mort et c’est la loi du plus faible appliquée tout naturellement dans le quotidien qui a pour l’instant évité que certains n’aillent trop loin. Fanny a une relation duale qui fonctionne avec l’épicière et une autre qui ne fonctionne pas du tout avec une connaissance féminine. Deux femmes, deux façons d’être totalement différentes, l’une offre la vie, l’autre la mort.

Les règles de la Loi du Plus Faible se précisent dans l’article: “Les relations entre deux personnes” qui sera présenté ultérieurement.

J’applique la loi de la relation duale d’équilibre dans toutes mes relations, quelles soient professionnelles ou privées, écrites ou orales et j’ai signé et applique la “Déclaration Individuelle de la Responsabilité Personnelle”.
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Cet article date de février 2010, mes observations de ceux que je rencontre sur le chemin de ma vie sont encore et toujours les mêmes. Et que ce soit entre surdoués et personnes soi-disant normales, entre les surdoués eux-mêmes ou les oligophrènes entre eux, il y a toujours un fort et un faible. Et le fort peut faire le choix d’aider le faible ou il l’exploite. C’est toujours la même chose.